Inattendus 2020 | Vendredi 14 février

 

 

Vendredi 14 févier à 18h00 : Fête de la lumière #1

 

(chez Chromatique)

 

 

 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

1 — Ccconvolve
Scott Fitzpatrick
Canada, 2018, Super 8, HD > num, 8’

Variation augmentée, répétitive et enjouée de Convolve, film Super 8 de Colby Richardson (2016) qui explorait les méandres des labyrinthes monochromes créés par Greg Bright dans son livre Fontana Mazes. Une mise en abîme subjuguante sur un rythme motorik.
 
 

2 — Les Films du désapparaître #1 – Mes cheuvs dans ta ********
Oscar Hache
France, 2018, 16mm, Super 8 > 16mm, 4’

Les Films du dés-apparaître est une série de films proposant une descente vers les profondeurs des spécificités techniques de la pellicule cinématographique. Grain, négatif/positif, mouvement/fixité, continu/discontinu et autres oppositions constitutives y sont démembrées de façon tant progressive que répétitive.

 

3 — D’étranges vues et de joyeux vestiges
Guillaume Mazloum
France, 2018, 16mm, 12’

Accumulation d’images inquiètes. Minutieusement manipulées, ces étranges vues sont accompagnées de joyeux vestiges, des mots glanés chez d’illustres ou de sombres poètes, parfois même sur les murs enragés de la ville. Ces fières lueurs, ces visages amovibles, ces corps mouvants deviennent les protagonistes d’un dialogue naissant, les traces de lieux et de temps qu’il reste encore à observer.

 

4 — Lines of Force
Dan Browne
Canada, 2018, num, 2’

Dédié à Paul Clipson, ce film est une fulguration ; matière et lumière sont éprouvées jusqu’aux limites de la perception.

 

5 — Les Films du désapparaître #3 – …Dans sa toile est un lac
Oscar Hache
France, 2019, 16mm, Super 8 > 16mm, 8’

#3 – … Dans sa toile est un lac est la deuxième étape du démembrement.

 

6 — The Sound Drifts
Stefano Canapa
France, 2019, 35mm, 9’

Les pistes audio du précédent film de Stefano Canapa dansent sur l’écran, déroulant leurs hypnotisantes oscillations. La bande son envoûtante de Jérôme Noetinger (Cellule d’intervention Metamkine), faite sur un enregistreur à bandes magnétiques, inclut diverses triturations électroniques et parasitages radiophoniques. Ces dérives sonores sont du cinéma pour l’oreille !

 

7 — Never Never Land
Michael Fleming
Pays-Bas, États-Unis, 2018, 35mm > num, 9’

Un film pour raconter notre quête obsessionnelle du corps parfait, notre volonté de toute puissance et de contrôle absolu sur celui-ci. Le hasard et l’individualité laissent place à un éventail de possibles, un pouvoir d’action et de transformation à la carte, à coup de bistouri. Plus de liberté pour plus d’uniformité. La promesse de rester soi, mais en mieux.

 

8 — Comfort Stations
Anja Dornieden & Juan David Gonzáles Monroy
Allemagne, 2018, 16mm, 26’

Cette séquence d’images et de sons a été retrouvée accompagnée d’un manuel d’instructions aujourd’hui perdu et constitue ce qui semble avoir été un test psychologique. Si chacun est libre d’y participer, merci de noter que cette expérience sensorielle doit être envisagée avec précaution…

 

 

Vendredi 14 février à 21h00 : Fête de la lumière #2 (Performances / chez Chromatique)

 

(chez Chromatique)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 — M….H (Performance 16mm)
Gaëlle Rouard
France, 2016, 16mm, 36’

« Toc toc qui est là au nom de Belzébuth ? Sonnez la cloche. Secouez ce sommeil épais, la confusion a joué sa pièce maîtresse ; et damné celui qui le premier crie : ça suffit, assez ! »

 

10 — Riuh Saudara (Performance pour 3 projeteurs)
Lucrecia, Cool Verdict et Riojim
France, Indonésie, 2018, 16mm, 40’

Performance pour trois projecteurs. On dit que celui qui boit l’eau de la rivière Mahakan sera amené à retourner à Bornéo. On dit qu’un dragon-serpent attend au fond de ces eaux. On dit que l’homme tombé amoureux de la femme samarinda-ienne ne repartira pas tout entier… Alors, avant qu’ils ne (re)disparaissent, trois vagabonds de l’atelier MTK voudraient partager quelques sels d’images capturées, quelques lueurs de chants, de vibrations, des bribes d’histoires de l’archipel.

 

11 — Khromacousma (Performance sans caméra ni ordinateur)
Joris Guibert
France, 2018, Analogique, 36’

[ tératographie électronique / mutations audiovisuelles ] > performance audiovisuelle sans caméra ni ordinateur > interconnexion de signaux audio et vidéo > émergence de phénomènes électriques > complexe // câbles // entrelacement // point // ligne // trame // larsen // retroaction // boucle // flux // champs // bruit // processus >>image / son

 

 
 

 


 

 

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