Inattendus 2022 | Dimanche 2 octobre

 

 

Dimanche 2 octobre à 14h00 : Sismique

 

 

 

 

 

 

 

 


53 — Hagibis

Jeroen Van der Stock
Japon/ 2021 / Num. / 10′

Alors que le Typhon Hagibis passe au-dessus du Japon en 2019, le réalisateur, calfeutré chez lui, enregistre les grondements inquiétants qui lui parviennent et se met parallèlement en quête d’images issues de caméras de vidéosurveillance, qui enregistrent en temps réel depuis les zones subissant de plein fouet le cyclone.

 

54 — La terre a tremblé
Christian Barani
France / 2021 / Num. / 54′

Derrière ces gestes rapides, sûrs, répétés qui confectionnent ces briques, il y a les bribes presque inaudibles et invisibles d’une révolution qui a pourtant eu lieu, mais dont rien ne subsiste.

 

Dimanche 2 octobre à 16h00 : Regards croisés

 

 

 

 

 

 

 

 


55 — Ce jour ne durera pas

Mouaad El Salem
Tunisie, Belgique / 2020 / Num. / silencieux / 26′

« Une journée qui pourrait aussi être une vie. Un jeune homme qui pourrait aussi être une femme plus âgée. Un cauchemar qui pourrait aussi être un rêve. En Tunisie, à la frontière entre la nécessité et la peur de faire un film, la nécessité et la peur de faire la révolution, ‘Ce jour ne durera pas’ est une coopération à distance. »

 

56 — De ses yeux
Juliette Morisse
France / 2021 / Super 8, MiniDV > Num. / 8′

“De ses yeux, elle cherche les notes d’une Sonate de Mozart. La caméra remonte le temps jusqu’aux couleurs d’un souvenir. Sa petite fille danse dans le salon. Le soleil se couche bientôt.”

 

57 — Memori
Laura Tirandaz & Barbara Vey
France / 2022 / Num. / 10′

Film issu de l’atelier de ciné-poème MEMORI mené par Laura Tirandaz et Barbara Vey avec les résidents de l’EHPAD Les Girondines de Gerland.

Atelier porté par Les Inattendus avec le soutien de la DRAC, de Habitat & Humanisme et de l’EHPAD Les Girondines

 

58 — 7 jours / 7
Collectif – Atelier Graphoui
Belgique / 2021 / Num. / 7′

Entre témoignages et dessins, plusieurs femmes racontent leurs expériences du confinement. La simplicité du trait et l’intimité du témoignage rendent alors l’exercice aussi beau et poétique.

 

59 — Ça souffle tellement fort que ça t’emporte
Perrine Michel
France / 2022 / Num. / 14′

Expérience collective et introspective de danse entre patients et soignants en psychiatrie. Ou comment cette pratique rapproche et annihile les barrières de toutes sortes entre les individus.

 

60 — Ceci n’est pas une fiction
Collectif – Atelier Graphoui
Belgique / 2019 / Num. / 4′

Il y aura des images et il y aura du son, et il se passera des choses entre les deux. Et, à travers cette économie apparente de moyens, on est tout de même transporté !

  

 
 

Dimanche 2 octobre à 18h00 : Passeurs

 

 

 

 

 

 

 

 


61 — Vers ce lieu enfoui

Alexis Jacquand
France / 2020 / Num. / 60′

« Une forêt en montagne, sa pente et ses rochers. L’arc à la main, un vieux chasseur piste le chamois en silence contre le vent. Parmi ses souvenirs peuplés de bêtes, des enfants explorent une forêt, se construisent une cabane, jouent dans le désir et la crainte d’une rencontre avec l’animal sauvage… »

 

62 — Baki Tadu É
Kate Saragaço-Gomes et Calum MacBeath Morgan
Inde, Portugal, Danemark / 2021 / Super 8 > Num. / 13′

Comme dans un rêve, une jungle de lumière où l’on explore et se perd, où tout semble pouvoir disparaître. La brume tombe, on se retrouve plongé dans le noir, perdu comme dans un cauchemar.

 

 

Dimanche 2 octobre à 20h00 : Appels d’air

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 


63 — Progresso Renaissance

Marta Anatra
Italie, France / 2019 / 16mm > Num.  > 20′

« Portovesme, Sardaigne. Images d’un été passé. Les vagues de la mer s’écrasent sans cesse sur les rochers. Un groupe de garçons se rend à la plage à bicyclette, en passant devant des bâtiments industriels abandonnés qui annonçaient, autrefois, une nouvelle ère. »

 

64 — Citadel
John Smith
Royaume-Uni / 2020 / Num. / 16′

Confiné, John Smith filme de sa fenêtre. Alors que Boris Johnson déroule son argumentaire au gré de ses discours officiels, la City à l’horizon prend bientôt des allures de Léviathan, automate implacable qui domine tout… restent néanmoins des signes de la vie qui persiste, tout autour.

 

65 — MSSM
Ignacio Fabio Mazzola
Italie / 2021 / 16mm > Num.  > 0’42 »

« L’école préfabriquée de Maurizio Sacripanti, conçue en 1969 pour la ville de Molfetta, se transforme en un film assourdissant. Une interprétation animée d’une section du bâtiment : les trous, les panneaux et les strates du projet se transforment en un rythme mécanique, mais le son d’une sonnerie altère la logique du système. »

 

66 — The Last Name of John Cage
Margaux Guillemard
Pays-Bas, France / 2020 / Num. / 4’33 »

Dans le silence et la contraction d’un espace-temps limité par les quatre murs d’une chambre pendant le premier confinement et les quatre minutes et trente-trois secondes de l’œuvre de John Cage, des pensées naissent, des émotions surgissent, des paroles se libèrent. L’univers intime se révèle alors dans son chaos primordial.

 

67 — Bobby brûle
Jade Boudet & Amélie Bigard
France / 2021 / Num. / 21′

Bobby et Melo ont la beauté saisissante des enfants qui ont tout juste fini de pousser, un peu n’importe comment, un peu à la va-vite, pas complètement. Ils s’accrochent l’un à l’autre – mauvaises herbes sensuelles – défiant l’aride et le rien alentour à coups de jeux de rôle intimistes et d’histoires à coucher dehors.

 

 


 

 

 

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